le noyer avait timidement poussé au milieu d'une parcelle à l'abandon, un bout de prairie envahi par la broussaille, les ronces, des arbres, la forêt ; en quelques saisons, nous avons rendu la zone à la lumière, créant un verger, dégageant le noyer qui depuis a doublé de volume ; à présent, il faut penser à tondre sous sa ramure l'été car dès l'automne ses noix joncheront le sol
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