plus belle qu’un soulier de vair oublié un soir de bal au sortir de minuit, dans l’ombre des broussailles, petit sabot de Venus, tu t’épanouis à deux pas de la maison
nul besoin de courir à l’autre bout du monde pour mesurer tout le poids de ta délicatesse, charmante orchydée, il suffit de s’accroupir au milieu des herbes folles où la nature, qui a établi ici son équilibre, respire en déployant l’infinie palette de sa diversité
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