« samedi en milieu de matinée, il était toujours impossible d’établir un bilan précis du séisme de 8,9 de magnitude qui a ravagé, vendredi 11 mars, une partie du japon. officiellement, on dénombrait 700 morts et autant de disparus, essentiellement dans les départements d’iwate, miyagi et fukushima.
aux dégâts considérables causés par le tsunami qui a frappé le nord-est du pays après la fin du premier séisme (depuis, plusieurs répliques sont survenues) s’ajoute la crainte d’une catastrophe nucléaire. l’agence de sécurité nucléaire et industrielle nippone estimait, samedi matin, qu’une fusion pourrait être en cours dans le réacteur n°1 de la centrale nucléaire de fukushima, située à 250 km au nord de tokyo. peu de temps après, une explosion était entendue et une épaisse fumée blanche s’élevait au-dessus de cette centrale. plusieurs employés auraient été blessés. craignant une contamination radioactive de la zone, les autorités japonaises avaient au préalable évacué 51 200 personnes.
afin de diminuer la pression à l’intérieur du réacteur nucléaire (à eau bouillante) de la centrale de fukushima, et, donc, d’en éviter l’explosion, les autorités japonaises ont décidé, samedi matin, de relâcher de la vapeur radioactive dans l’atmosphère. selon la télévision NHK, le toit et les mmurs du bâtiment du réacteur de fukushima se seraient effondrés.
(lire page trois, 4, 5, 6) »
le monde, mardi 15 mars 2011 (acheté à l’aéroport)
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